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Le marché du vélo électrique ne cesse de croître depuis quelques années. Les constructeurs se multiplient, les gammes se diversifient : VAE de ville, vélo électrique trekking, vélo cargo à assistance électrique et même VTT électrique et vélo de route électrique pour les plus sportifs. Il n’est donc pas toujours simple de faire son choix parmi les nombreux modèles de vélos électriques.

Alors, quels sont les critères à prendre en compte pour choisir un vélo électrique ?

• Choisir son vélo électrique en fonction de son utilisation.
• Comment choisir la meilleure marque de vélo électrique ?
• Quelle motorisation pour son vélo électrique ?
• Comment choisir la taille de son vélo électrique ?
• Combien coûte un vélo électrique de qualité ?

• Vélo électrique. A assistance électrique, ce vélo ne roule pas seul, contrairement aux idées reçues, mais il assiste l’effort humain. Autrement dit, son moteur est là pour vous donner un petit coup de pouce, dans les montées par exemple, pas pour faire tout le travail à votre place. Il faut donc bel et bien faire travailler tout son corps pour ensuite filer à la vitesse moyenne de 25 km/h. Il est idéalement pour les personnes âgées, celles qui veulent aller loin ou qui souffrent de douleurs articulaires dès que la promenade s’allonge.

Combien de temps en faire ?

Idéalement, la pratique recommandée est d’une à deux fois par semaine, à allure modérée, durant un minimum de 30 min. 

• On peut faire du vélo en visitant de beaux endroits.

Contrairement à une séance de natation, où le paysage se résume aux carreaux du fond de la piscine, ou à une séance de sport en salle, où on ne voit plus le jour, le vélo permet de profiter des paysages. 

D’autant plus qu’à vélo, on parcourt des distances bien plus importantes qu’à pied ou en courant. 

Un conseil : préparez vos circuits à l’avance, selon les distances que vous êtes prêtes à parcourir. Où qu’on vive en France, il y a forcément de jolies choses à voir autour de chez soi. 

• On peut faire du vélo tout le temps.

Avec le cyclisme, inutile de se demander combien de fois par semaine il faut faire du vélo, car on peut en faire TOUT LE TEMPS.  

Rendez-vous chez une copine ce soir ? J’enfourche mon vélo ! Aller-retour quotidien au boulot ? J’enfourche mon vélo ! Idéal pour celles qui n’ont pas le temps de faire du sport régulièrement. 

Pour celles qui ont besoin d’un planning sportif précis, néanmoins, il est conseillé de faire deux sorties vélo par semaine.

• Le vélo est un sport anti-cellulite.

Si vous êtes en quête d’un sport anti-cellulite, ne cherchez plus ! Le vélo étant un sport d’endurance, brûle-graisse et focalisé sur le bas du corps, il constitue l’arme idéale pour faire la peau aux capitons.

• Le vélo pour dépenser des calories.

On met plus longtemps à être fatiguée lors d’une séance de vélo que lors d’une séance de natation ou de course. Par conséquent, on peut faire du vélo plus longtemps et donc brûler plus de calories.  

Mais alors, combien de temps faire du vélo pour brûler un maximum de calories ? 

Pour vous donner un ordre d’idée, en 1 heure de vélo, une femme d’environ 60 kilos brûle : 

– 354 calories à allure lente (entre 16 et 19km/h)
– 472 calories à allure modérée (entre 19 et 22 km/h)
– 590 calories à allure vigoureuse (entre 22 et 25 km/h)
– 408 calories à allure de course (entre 25 et 30 km/h)

Même lors d’une sortie loisir, à moins de 16km/h, on brûle tout de même 236 calories en une heure. 

À vous les balades dans les champs de coquelicots et les sorties vélo en amoureux en chantant Charles Trenet « à bicycleeeeetteeee » !

• Faire du vélo, c’est travailler le cardio.

On l’a dit et on le répète : travailler le cardio est idéal pour perdre du poids et éliminer les toxines, mais aussi pour développer l’endurance et muscler le coeur.  

Or, le vélo, c’est cardio. Tout est dit.

• Faire du vélo aide à perdre du ventre.

Faire du vélo ne sollicite pas directement les abdominaux. En revanche, la position sur le vélo implique d’engager la ceinture abdominale et d’être relativement gainée, ce qui, indirectement, participe à affiner son ventre. 

D’autant plus que le vélo est un sport cardio, et qui dit sport cardio dit stimulation de l’ensemble des muscles du corps pour brûler les graisses. Résultat : les zones habituellement plus graisseuses, le ventre en première ligne, sont aussi sollicitées. 

•  Faire du vélo, c’est se muscler sans abîmer ses articulations.

Le vélo est un sport « porté », qui décharge le corps de son propre poids. Par conséquent, faire du vélo soulage les articulations en leur épargnant les chocs. 

Si vous cherchez quel sport pratiquer avec un problème de genou, vous avez trouvé ! 

En revanche, évitez les montées autant que possible, car elles impliquent de forcer davantage sur ses genoux.

Le vélo est le sport idéal pour se muscler tout en profitant. En adaptant son allure, en passant par de jolis paysages ou en prenant son vélo pour se déplacer et aller travailler, c’est l’équation parfaite et pratique du sport et du loisir. 

Voici tous les avantages de faire du vélo en plein air. 

• Le vélo permet de muscler les fesses et les jambes. 

Pendant une sortie vélo comme pendant une séance de running, les muscles du bas du corps sont constamment sollicités. Sauf dans les descentes bien sûr, mais comme une descente implique souvent une montée… CQFD. (Vous les sentez, ces cuisses qui tiraillent ?)

Le vélo permet de muscler les jambes, des mollets jusqu’en haut des cuisses, mais également les fessiers, en particulier quand on pédale en danseuse. 

En plus, le vélo dessine les muscles en finesse : il ne s’agit pas d’une séance de musculation mais bien de cardio. Résultat : on affine et on galbe le muscle sans le gonfler.

C’est magique, pratique et écologique.

La mobilité douce s’inscrit dans le sillage des questions de développement durable. L’idée, c’est de réfléchir aux modes de transports utilisés, notamment en ville. Conceptions de ces modes de transport, gestions, encouragements, organisations… l’enjeu se situe pour beaucoup au niveau de l’aménagement du territoire. Car si les collectivités ont un rôle à jouer, c’est aussi parce que les bénéfices de la mobilité douce profitent à tous : réduction de la pollution, augmentation de l’activité physique (et de ces répercussions bénéfiques pour la santé), gestion du temps, qualité de vie… 

Evitons ensemble les bouchons de la région parisienne !

Si le vélo en ville est accessible à tout le monde, ce n’est pas pour autant que vous êtes incollables au moment de démarrer. Pas de panique, vous acquerrez bien vite les quelques automatismes pour une pratique saine et adéquate du vélo en milieu urbain. Réglementation vélo, nous voilà !

S’ÉQUIPER EN ACCESSOIRES DE SÉCURITÉ

ENTRETENIR SON VÉLO

PRIVILÉGIER LES PISTES CYCLABLES

VÉLO SUR LE TROTTOIR, AUTORISÉ OU PAS ?

RALENTIR MÊME SI L’ON A LA PRIORITÉ

TOUJOURS ANNONCER SES CHANGEMENTS DE DIRECTION

NE PAS DOUBLER À DROITE

OUVRIR L’OEIL ET LE BON !

SE MÉFIER DES TRAMWAYS

FAIRE ATTENTION AUX PORTIÈRES DES VOITURES

SURVEILLER LES PIÉTONS

Si vous achetez un vélo à assistance électrique, vous pouvez, sous conditions, bénéficier d’une aide de l’État, appelée bonus vélo à assistance électrique. Quelles sont les conditions de cette aide ? Quel est son montant ? Quelles démarches devez-vous suivre pour l’obtenir ?

Les conditions du bonus vélo à assistance électrique

Les conditions d’attribution de l’aide de l’État sont fixées par l’article D251-2 du code de l’énergie.

Les bénéficiaires éligibles

Sont éligibles les personnes remplissant les conditions suivantes :

• être majeur
• être domicilié en France
• avoir un revenu fiscal de référence par part inférieur ou égal à 13 489 €
• avoir bénéficié d’une aide ayant le même objet attribuée par la collectivité territoriale ou le groupement de collectivités territoriales.

Les caractéristiques du vélo acquis

Le vélo acquis doit avoir les caractéristiques suivantes :

• être neuf
• ne pas utiliser de batterie au plomb
• être un cycle à pédalage assisté au sens de l’article R.311-1 du code de la route (cycle équipé d’un moteur auxiliaire électrique d’une puissance nominale continue maximale de 0,25 kilowatt, dont l’alimentation est réduite progressivement et finalement interrompue lorsque le véhicule atteint une vitesse de 25 km/ h, ou plus tôt si le cycliste arrête de pédaler)
• ne pas être cédé par l’acquéreur dans l’année suivant son acquisition.

Vous ne pouvez bénéficier du bonus pour l’achat d’un vélo électrique qu’une seule fois.

Une gamme étendue de vélos à assistance électrique ou musculaires.

Pour tous vos déplacements, les vélos électriques PEUGEOT ou GITANE s’adaptent parfaitement à votre mode de vie. En ville, soyez à l’heure au bureau, frais et dispo. Sur les chemins, redécouvrez le plaisir des longues promenades à tout âge.

En montagne, atteignez facilement les sommets pour profiter à fond des descentes. Vivez des expériences inédites grâce aux moteurs et batteries de dernière génération qui équipent les vélos à assistance électrique PEUGEOT ou GITANE.